horlogerie appareil a brancher sur rosace mécanisme de réception a bobine pendule secondaire no mère
NOUS AVONS 7 APPAREILS A BRANCHER SUR ROSACE DISPONIBLES , AUCUN DES 7 MÉCANISME NE POSSÈDENT D'AUTOCOLLANTS (VOIR PHOTO DU LOT)donc photo du mouvement seul non contractuelle.merci de votre compréhension.
vous pouvez acheter individuellement dans cette annonce 1 ou plusieurs mouvements.
horlogerie appareil a brancher sur rosace mécanisme de réception a bobine pendule secondaire no mère POUR pendule de gare réceptrice brillé?
un mécanisme de réception a bobine et porte une étiquette " appareil a brancher sur rosace de 100 ohm"
quand Sur l'étiquette on peut lire "Appareil à brancher sur rosace..." = pendule secondaire pour fonctionnement en réseau, vendue en l'état.
DIAMÈTRE DU BOITIER : 7,7 mm = 0.3031496062992126 inches
un peu d'histoire :
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DIAMÈTRE DU BOITIER : 7,7 mm = 0.3031496062992126 inches
appareil a brancher sur rosace |
un peu d'histoire :
CHARLES FERY
Physicien français né à PARIS en 1865 et mort dans cette même ville le 23 février 1935.
Il passe sa première enfance à Longwy d'où sa famille était originaire et vient à Paris pour faire des études supérieures.
En 1882, il intègre la première promotion de l'Ecole de Physique et Chimie de PARIS que la ville vient de construire, suite à la délocalisation de l'Ecole de Chimie de Strasbourg, qui se trouve en zone allemande depuis 1870.
Il en sortira major en 1885 et optera pour la physique suivant l'avis de ses professeurs.
En 1902, il est nommé professeur d'optique dans cette même école où il enseignera en succédant au poste du professeur J. B. BAILLE.
A son grand talent d'observateur et d'expérimentateur, FERY joignait un esprit d'une extrême clarté qui l'amenait à des solutions d'une simplicité admirable.
C'est ainsi qu'il travailla à l'invention de divers appareils dans le domaine de l'optique tels unspectromètre, un actinomètre intégral à réceptacle creux (mesure des rayonnements solaire), un réfractomètre, un pyromètre connu sous le nom de "lunette de Féry" encore employé dans la sidérurgie, un étalon lumineux brûlant de l'acétylène et une bombe calorimétrique thermoélectrique à lecture directe.
On ne peut passer sous silence ses nombreux travaux en horlogerie et en particulier son horloge électrique à pendule à aimant permanent.
Cette pendule, construite à des milliers d'exemplaires par la Société BRILLIE-MAGNETA sous plusieurs formes a équipé, jusqu'à nos jours, nombre de gares et de hall de bâtiments administratifs.
Il s'agit d'une horloge-mère, appelée aussi régulateur qui commande un certain nombre de pendules réceptrices telles les grandes horloges rondes des quais de gare, de nos mairies ou celles installées dans les usines.
La consommation électrique de ces pendules était tellement faible, qu'une pile Féry était capable d'assurer leur fonctionnement pendant plusieurs années.
La photo ci-dessous (à gauche) montre une pendule réceptrice polygonale en métal chromé de style Arts Déco des années 1930.
Cette pendule recevait les impulsions électriques de l'horloge-mère . A noter que les pendules réceptrices sont reconnaissables à une pièce en porcelaine appelée rosace visible au dos de l'appareil (image de droite).
ooOoo
Quand éclata la première guerre mondiale, Féry était à LYON, membre du jury de l'Exposition. Trop âgé pour être mobilisé, il souhaita de toutes ses forces contribuer à la défense nationale.
Avec l'appui du colonel FERRIE, il ouvre un cours de TSF et de télégraphie militaire pour les élèves de son école.
En 1915, il est nommé membre de la Commission Supérieure des Inventions intéressant la défense Nationale.
Il apportera sa contribution au développement d'appareils de télémesures utilisés pour les tirs d'aviation et les bombardements.
Sollicité par FERRIE qui a des problèmes d'alimentation électriques de ses postes de télégraphie suite aux difficultés d'approvisionnement en bioxyde de manganèse, il met au point une pile à dépolarisation par l'air qui ne nécessite plus l'usage de ce composé chimique naturel (pyrolusite).
Il effectuera de nombreuses recherches jusqu'en 1926, date à laquelle il demandera sa mise à la retraite.
Il est également l'auteur d'études sur l'accumulateur au plomb et sur la haute atmosphère.
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