ancienne malle a mitrailleuse 1870 arme militaire guerre franco-prussienne époque napoléon III

ancienne malle a munitions pour  mitrailleuse 1870
certainement pour une  mitrailleuse Reffye fabriquée en France ou La mitrailleuse Montigny ou encore Montigny-Fafschamps
cette caisse pour arme militaire certainement destiné a la  guerre franco-prussienne
elle est d'époque napoléon III elle est extrêmement lourde!
 expédition & livraison obligatoire par transporteur. elle est aussi très grande .
elle mesure:  53 x 120 cm = 20,86 x 47,24 inches 
hauteur 46 cm = 18,11 inches
elle est constituée de bois avec une couche de ferraille au dessus . et elle a de superbes ferrures en fer forgé.
spécimen extrêmement rare voire introuvable , surtout dans cette condition.il y a des inscriptions dessus mais je n'arrives pas a les déchiffrer .
regardez les photos:


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ébauche , article pris sur wikipedia:

Emploi durant la guerre franco-prussienne de 1870:    La mitrailleuse de Reffye ou "canon à balles" est adoptée par l’armée française en 1866 à la demande de Napoléon III, qui souhaite combler le vide entre la portée maximale desboîtes à mitraille (500 m) et la portée minimale de l’obus à balles1, les deux principales munitions utilisées par l’artillerie contre l’infanterie. Affectée à l’artillerie qui l’emploie comme un canon, cette modification de la mitrailleuse Montigny est connue en France sous le nom du promoteur principal qui devient responsable de sa fabrication, le commandant Jean-Baptiste Verchère de Reffye1.

En août 1870, l’armée française possédait 190 canons à balles, dont 168 affectés à l’armée du Rhin, en 28 batteries1. Ils sont utilisés intensivement en batteries de 6 pièces affectées à l'artillerie, qui s’en sert contre les batteries adverses. Celles-ci répliquent en concentrant leurs feux sur les batteries de canons à balles, les réduisant rapidement au silence1. Cet emploi inadapté (notamment dans les batailles de Wissembourg (4 août) et de Spicheren (6 août)) limite son efficacité. Elle a néanmoins un effet sur les soldats allemands : outre l’effet psychologique, elle a quelques succès spectaculaires à Frœschwiller (6 août), Borny (14 août) à Rezonville (16 août), et surtout lors de la bataille deSaint-Privat (ou Gravelotte) le 18 août. Mais, faute d'une doctrine d'emploi adaptée et d'un entraînement suffisant des servants, cette nouvelle arme se voit surclassée par l'artillerie de campagne allemande.
L’état-major allemand craignait beaucoup cette arme, et se fit remettre douze batteries complètes par Bazaine1, avant de les vendre à la Belgique, qui les revendit à la France en 18761.
Dans le camp opposé, seule l'armée bavaroise emploiera sans grand succès une arme à répétition très rustique connue sous de nom de mitrailleuse Feldl.
Bon nombre de ces mitrailleuses passèrent en Suisse en février 1871, lors de l'internement de l'Armée de l'Est.
La mitrailleuse Montigny ou Montigny-Fafschamps fabriquée en Belgique, précéda le canon à balles ou mitrailleuse Reffyefabriquée en France . Dans les deux cas, il s'agit d'armes à culasse mobile regroupant en faisceau un certain nombre de canons fixes. La mise a feu de ses cartouches à percussion centrale est actionnée par une manivelle indépendante. Développée par l'armurier belgeJoseph Montigny en 1863, la mitrailleuse Montigny est basée sur un prototype de Toussaint-Henry-Joseph Fafchamps datant de 1851. Le "canon à balles" de Reffye fut un peu plus tard une adaptation de la mitrailleuse Montigny.
Principe de fonctionnement
L'objectif de l'arme était de remplacer la boîte à mitraille ou les obus à balles que tiraient les canons de l'époque. La portée utile de ces derniers était devenue inférieure à celles des fusils d'infanterie rayés tirant la nouvelle balle Minié, existant depuis le début des années 1860.
La mitrailleuse Montigny, mise en service en 1863 par la Belgique, est formée de trente-sept canons en acier réunis dans une âme en bronze. Les trente-sept canons, de calibre 11 mm, sont rayés. Le chargement s’effectue grâce à une plaque amovible. Cette plaque contient 37 cartouches de 11 mm, à percussion centrale, qui sont environ deux fois plus puissantes que les cartouches du fusil Chassepot utilisé par l'infanterie française. Elles sont mises à feu individuellement à la cadence souhaitée en manœuvrant un levier manivelle situé à droite de la culasse. On peut ainsi tirer au coup par coup, par rafales courtes ou longues, à la cadence maximale de 100 coups par minute environ. La mitrailleuse française de Reffye ou "canon a balles" tirait une munition de 13mm, plus puissante, à percussion centrale, qui était chargée sur blocs amovibles de 25 cartouches au lieu de 37 cartouches pour la mitrailleuse Montigny.
Contrairement à la mitrailleuse Gatling, la mitrailleuse Montigny (1863) et la mitrailleuse de Reffye (1866) n’ont pas eu de descendance et leur principe est aujourd'hui totalement abandonné.

Emploi durant la guerre franco-prussienne de 1870

La mitrailleuse de Reffye ou "canon à balles" est adoptée par l’armée française en 1866 à la demande de Napoléon III, qui souhaite combler le vide entre la portée maximale desboîtes à mitraille (500 m) et la portée minimale de l’obus à balles1, les deux principales munitions utilisées par l’artillerie contre l’infanterie. Affectée à l’artillerie qui l’emploie comme un canon, cette modification de la mitrailleuse Montigny est connue en France sous le nom du promoteur principal qui devient responsable de sa fabrication, le commandant Jean-Baptiste Verchère de Reffye1.
En août 1870, l’armée française possédait 190 canons à balles, dont 168 affectés à l’armée du Rhin, en 28 batteries1. Ils sont utilisés intensivement en batteries de 6 pièces affectées à l'artillerie, qui s’en sert contre les batteries adverses. Celles-ci répliquent en concentrant leurs feux sur les batteries de canons à balles, les réduisant rapidement au silence1. Cet emploi inadapté (notamment dans les batailles de Wissembourg (4 août) et de Spicheren (6 août)) limite son efficacité. Elle a néanmoins un effet sur les soldats allemands : outre l’effet psychologique, elle a quelques succès spectaculaires à Frœschwiller (6 août), Borny (14 août) à Rezonville (16 août), et surtout lors de la bataille deSaint-Privat (ou Gravelotte) le 18 août. Mais, faute d'une doctrine d'emploi adaptée et d'un entraînement suffisant des servants, cette nouvelle arme se voit surclassée par l'artillerie de campagne allemande.
L’état-major allemand craignait beaucoup cette arme, et se fit remettre douze batteries complètes par Bazaine1, avant de les vendre à la Belgique, qui les revendit à la France en 18761.
Dans le camp opposé, seule l'armée bavaroise emploiera sans grand succès une arme à répétition très rustique connue sous de nom de mitrailleuse Feldl.

Bon nombre de ces mitrailleuses passèrent en Suisse en février 1871, lors de l'internement de l'Armée de l'Est.
old trunk a machine gun in 1870
certainly for Reffye gun manufactured in France or the gun or Montigny Montigny-Fafschamps
certainly for this fund for military weapon has the Franco-Prussian War
Is Napoleon III period is extremely heavy!
 shipping & delivery mandatory carrier. it is also very large.
it measures 53 x 120 cm = 20.86 x 47.24 inches
height 46 cm = 18,11 inches
it is made of wood with a layer of scrap above. and has beautiful wrought iron fittings.
extremely rare specimen indeed found, especially in this condition.il are inscriptions above but I did not arrived in deciphering.
look at the pictures:
Employment during the Franco-Prussian War of 1870: The machine gun Reffye or "cannon balls" is adopted by the French army in 1866 at the request of Napoleon III, who wants to fill the gap between maximum desboîtes grapeshot range (500 m) and the minimum range of the shells balles1, the two main ammunition used by the artillery against infantry. Assigned to the artillery that employs him like a cannon, this change in Montigny machine gun is known in France under the name of the main sponsor who becomes responsible for its manufacture, the commander Jean-Baptiste Verchère of Reffye1.
In August 1870, the French army had 190 bullets guns, including 168 assigned to the Army of the Rhine in 28 batteries1. They are used extensively in batteries with 6 rooms assigned to the artillery, which is used against enemy batteries. They replicate by concentrating their fire on the batteries of cannon balls, quickly reducing the silence1. This improper use (especially in the battles of Wissembourg (August 4) and Spicheren (August 6)) limits its effectiveness. Nevertheless, it has an effect on the German soldiers: besides the psychological effect it has some spectacular success Frœschwiller (August 6), Borny (August 14) in Rezonville (August 16), and especially at the Battle DESAINT-Privat ( or Gravelotte) August 18. But without a job doctrine adapted and adequate training of servants, this new weapon is seen outclassed by German artillery campaign.
The German staff was very concerned that weapon and had himself put twelve complete batteries by Bazaine1 before selling them to Belgium, which sold them to France in 18761.
In the opposite camp, only the Bavarian army employ without much success a famous rustic repetition weapon sub machine gun Feldl name.

Many of these guns went to Switzerland in February 1871, during the internment of the Eastern Army.

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